Poussière, sable, chaleur et pluie

Les énergies renouvelables en plein essor

La jeune entreprise, qui appartient au groupe Josef Rädlinger, s'est installée dans les locaux d'une ancienne centrale électrique, où elle exploite une installation d'essai sur le toit d'un ancien site Web de désulfuration des gaz d'échappement à une hauteur de 217 pieds. Elle y exploite une installation d'essai sur le toit d'un ancien site Web pour la désulfuration des gaz d'échappement à une hauteur de 217 pieds. Créée en juillet 2006, la première installation en Espagne pourrait déjà être mise en place en décembre 2006. Entre-temps, quatre projets comprenant plus de 300 installations « s:wheel » ont été mis en œuvre dans toute l'Espagne. Une usine se compose d'une roue, chacune d'un diamètre de 1,5 m. Elle est montée sur des fondations ou des piquets. Le système, proche de la terre et donc insensible au vent, convient à de nombreux types de modules. Pour une puissance installée de 36 kWp, il offre des rendements supérieurs de 30 % à ceux des centrales fixes.

Alors que la première petite centrale photovoltaïque d'une puissance installée totale de 200 kWp a été mise en service dans un vignoble espagnol, la principale clientèle visée est le secteur de la construction de centrales électriques. "Nous construisons des centrales de 5 à 8 MW, ce qui signifie que la taille des parcelles doit être comprise entre 80 000 et 150 000 m²," explique Andreas Fleischmann. "À l'heure actuelle, nous n'appliquons pas encore d'exigences particulières, mais nous travaillons toujours dans le domaine des parties communes. Cependant, nous allons élargir notre gamme de produits afin d'utiliser également les coteaux ensoleillés, par exemple! "

L'entreprise envisage l'avenir avec plus que de l'optimisme. Après avoir démarré avec trois personnes, le site Web de Schwandorf et le siège de Cham emploient aujourd'hui plus de 300 personnes.

L'énergie ne peut être évacuée qu'au centre de rotation. C'est là que la chaîne d'énergie "triflex® R" est la plus sollicitée. Alors que l'ensemble du boîtier reste rigide, la chaîne d'énergie effectue un mouvement radial à chaque commutation, de sorte qu'elle est de plus en plus sollicitée. Elle est maintenue en traction en un point par une sorte d'équilibreur et, entre autres, ne glisse pas trop sur le sol lorsque l'installation revient à sa position de départ pendant la nuit.

Haute résistance à la traction du système d'alimentation en énergie

Le système d'alimentation en énergie se compose de 78 maillons individuels et atteint une longueur d'environ 8,2 pieds. "En raison de la zone de pivotement sécurisée, il est un peu étendu, explique rétrospectivement Gerhard Dirscherl (" ). La grande résistance à la traction et la stabilité sont obtenues grâce au principe de la remorque "" , qui relie les différents éléments comme un attelage. La mobilité requise dans toutes les directions est assurée par cette formation en forme de boule.

"En règle générale, nous fournissons la mécanique et le client contribue au système électrique," explique Andreas Fleischmann. "Mais si nécessaire, nous nous chargeons également de la partie électrique. Dans ce cas, le thème des systèmes d'alimentation en énergie préassemblés peut prendre de l'importance. Pour nous, cela facilite la planification, la construction, l'installation et la mise en service de l'ensemble de l'usine. Mais jusqu'à présent, nous nous sommes concentrés uniquement sur la partie mécanique pour des raisons de capacité. "

Les objectifs de RWenergy sont définis. L'ensemble de la région méditerranéenne doit être exploité petit à petit. Le marché des énergies renouvelables va continuer à croître. "Nous proposons un système fiable et facile à entretenir. Les systèmes d'approvisionnement en énergie qui font leurs preuves à l'extérieur en font partie. Selon nous, rien ne s'oppose à leur utilisation future," Andreas Fleischmann fait le point.